21 2 Poème: Vivre Sous Un Ciel Bleu. Publié par Blanche le 08/01/2022 à 00:01. 2 1 1 Poème: Ô Ciel. Publié par Antigone le 06/01/2022 à 10:10. 280j'aime, 35 commentaires. Vidéo TikTok de alice.77680 (@alice.77680) : « une merveilleuse petite étoile de plus dans le te protège ma puce. #triste 😭😭 ». que Poème(enfin presque): Adieu ciel étoilé Adieu ciel étoilé.. Mon Amour s'en est allé Figé dans le noir, je la cherche du regard.. Mon étoile bien aimé, perdu dans cette immensitée Je regarde le ciel, aveuglé par sa beauté, Vay Tiền Nhanh Chỉ Cần Cmnd. TémoignagesMa mère d’Aimé Césaire, poète antillaisMa mère ne s’opposait à rienElle était accueilElle était comme la luneQui accueille la lumière du soleil ... lire la suite …A ma mère de Théodore de BanvilleLorsque ma sœur et moi, dans les forêts profondes, Nous avions déchiré nos pieds sur les cailloux, En nous baisant au front, tu nous appelais fous, Après avoir maudit nos courses vagabondes.… lire la suite …Une mamanUne maman,C’est comme un soleil levant qui réchauffe le comme une fleur qui habille la terre. ... lire la suite …A mon pèreTe souviens-tu de nos jeunes années ?Toi, tu avais trente ans, j’en avais cinq à de longues promenades souvent tu m’emmenais,Courant à travers champs jusqu’à en perdre haleine … lire la suite …Un coeur de MamyUn cœur de Mamy, ça veut du bonheur Du bonheur pour tous ses enfants. Un cœur de Mamy, ça a toujours peur, Ca tremble pour petits et grands,… lire la suite …Des poèmes de Victor HugoDemain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’ par la forêt, j’irai par la ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.… lire la suite…Un ange est partiOù es-tu petit ange, où es-tu ? On aurait bien voulu à force d’amour, T’empêcher de partir Mais le monde est trop lourd… lire la suite … L’enfant abandonné » de Roger BlandignèresUn jour j’ai pris conscience, Que je n’étais rien dans cette existence. Sans père ni mère, Je devais construire ma vie au goût amer.… lire la suite …La solitudeIls sont nombreux les chemins qui mènent à ce désert. Ils sont nombreux ceux qui les empruntent, ou trop souvent, Sont poussés avec violence sur cette terre aride.…lire la suite …Cultures et SagessesTexte de Jean d’OrmessonOù des voix disparues chantent des chansons de marin ?Nous mourrons tous. Et nous vivons. Mais nous ne savons pas pourquoi. Nous ne savons pas pourquoi nous avons été jetés dans le temps. … lire la suite … Le petit prince et les étoiles » d’Antoine de Saint Exupéry – Ce qui est important, ça ne se voit pas… – Bien sûr… – C’est comme pour la fleur. Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c’est doux, la nuit, de regarder le ciel. … lire la suite …Savoir vieillir de François Fabié Vieillir, se l’avouer à soi-même et le dire, Tout haut, non pas pour voir protester les amis, Mais pour y conformer ses goûts et s’interdire Ce que la veille encore on se croyait permis… lire la suite … Vieillir en beauté » par Ghyslaine DelisleVieillir en beauté, c’est vieillir avec son coeur; Sans remord, sans regret, sans regarder l’heure; Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur; Car, à chaque âge, se rattache un bonheur. … lire la suite …Petite paraboleDurant les pluies du printempsUn vieil homme creusait des trous.– Que faites-vous là ? demanda son voisin… lire la suite … Le jardinier d’amour » de TagorePourquoi la lampe s’est-elle éteinte ? Je l’entourai de mon manteau Pour la mettre à l’abri du vent C’est pour cela que la lampe s’est éteinte.… lire la suite …Prière amérindienne A ceux que j’aime et qui m’aiment »Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j’ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi !… lire la suite … La mort n’est rien de Charles PéguyLa mort n’est rienJe suis simplement passé dans la pièce à côté. Je suis moi, tu es toi. Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.… lire la suite …Conte africainÉcoute les êtres et les choses,Ecoute la voix du feu, la voix de l’eauÉcoute dans le buisson le vent en sanglots Ceux qui sont morts ne sont pas vraiment partis… lire la suite …Espérance Savourez la vie » de Mylène ChiodettiEntendez, écoutez, nous sommes porteurs d’un message Vivez braves gens. Vivez, malgré le froid, malgré votre corps glacé, par dessus les montagnes, bien au delà des difficultés … lire la suite …Les voeux de Jacques Brel – 1 janvier 1968Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns. Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer et d’oublier ce qu’il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences. Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants… lire la suite …Le bonheurLe bonheur c’est tout petit Si petit que parfois on ne le voit pas, Alors on le cherche, on le cherche partout. Il est là, dans l’arbre qui chante dans le vent,… lire la suite … Il restera de toi » de Michel Scouarnec Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi de ton jardin secret Une fleur oubliée qui ne s’est pas fanée… lire la suite …La voileJe suis debout au bord de la plage. Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan. Il est la beauté et la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon. …lire la suite …Des étoilesDans la forêt d’étoiles Il n’y a pas de vent, Pas de tempête noire, Ni d’orage grondant.… lire la suite … Le train » de Jean d’OrmessonA la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage… … lire la suite …Jacques Prévert Chanson des Escargots qui vont à l’enterrement »A l’enterrement d’une feuille morte Deux escargots s’en vont Ils ont la coquille noire Du crêpe autour des cornes… lire la suite … Ma petite Maëva, tu es entrée dans ma vie comme tellement d’autres petits chats, et pourtant…. il n’aura fallu qu’un regard, une caresse pour que l’amour s’installe et qu’un lien particulier se créé. Ta façon de venir à moi avec ta toute petite queue dressée comme pour me dire coucou c’est moi ! » tes grands yeux toujours écarquillés, si grands, si doux, si naïfs et purs…..Plonger mon regard dans le tien était devenu mon soleil quotidien. J’ouvrais la porte et aussitôt te cherchais du regard, toi petite plume aérienne et délicate. Petit amour, tellement curieuse, toujours émerveillée de découvrir le monde. Tu m’as fait un doux ronron ce matin là, lovée dans mon cou, quel bonheur….. Et en fin de journée je t’ai trouvée comme fatiguée, un peu patraque » ; tu n’es pas venue en trottinant vers ton assiette……toi la petite gourmande. Je t’ai emmenée à la clinique, ils t’ont gardée…..et quand je suis revenue 2 jours plus tard, ils m’ont rendu ton petit corps sans vie, ton regard était vide de toi ma douce…… Aujourd’hui encore tu me manques. Certains trouveront ça sûrement idiot, s’attacher aussi fort à une si petite personne en à peine 15 jours. Mais voilà, l’amour ne se commande pas. Tu étais une petite étoile lumineuse, un petit ange venue à ma rencontre. Je pleure quand je pense à toi, à ton regard et ton tout petit museau….mais je suis heureuse d’avoir eu le bonheur fragile de t’avoir dans ma vie, t’avoir en mes bras, ces quelques jours……. Reste en paix dans mon jardin, je te veille depuis mes fenêtres et je sais que lorsque l’althéa fleurira, ce sera un peu de toi dans la douceur de ses fleurs au vent….. 43 poèmes <13456Phonétique elaeis Élie Ella elle ellesAu courant de l'amour lorsque je m'abandonne, Dans le torrent divin quand je plonge enivré, Et presse éperdument sur mon sein qui frissonne Un être idolâtre. Je sais que je n'étreins qu'une forme fragile, Qu'elle peut à l'instant se glacer sous ma main, Que ce cœur tout à moi, fait de flamme et d'argile, Sera cendre demain ; Qu'il n'en sortira rien, rien, pas une étincelle Qui s'élance et remonte à son foyer lointain Un peu de terre en hâte, une pierre qu'on scelle, Et tout est bien éteint. Et l'on viendrait serein, à cette heure dernière, Quand des restes humains le souffle a déserté, Devant ces froids débris, devant cette poussière Parler d'éternité ! L'éternité ! Quelle est cette étrange menace ? A l'amant qui gémit, sous son deuil écrase, Pourquoi jeter ce mot qui terrifie et glace Un cœur déjà brisé ? Quoi ! le ciel, en dépit de la fosse profonde, S'ouvrirait à l'objet de mon amour jaloux ? C'est assez d'un tombeau, je ne veux pas d'un monde Se dressant entre nous. On me répond en vain pour calmer mes alarmes ! L'être dont sans pitié la mort te sépara, Ce ciel que tu maudis, dans le trouble et les larmes, Le ciel te le rendra. » Me le rendre, grand Dieu ! mais ceint d'une auréole, Rempli d'autres pensers, brûlant d'une autre ardeur, N'ayant plus rien en soi de cette chère idole Qui vivait sur mon cœur ! Ah! j'aime mieux cent fois que tout meure avec elle, Ne pas la retrouver, ne jamais la revoir ; La douleur qui me navre est certes moins cruelle Que votre affreux espoir. Tant que je sens encor, sous ma moindre caresse, Un sein vivant frémir et battre à coups pressés, Qu'au-dessus du néant un même flot d'ivresse Nous soulève enlacés, Sans regret inutile et sans plaintes amères, Par la réalité je me laisse ravir. Non, mon cœur ne s'est pas jeté sur des chimères Il sait où s'assouvir. Qu'ai-je affaire vraiment de votre là-haut morne, Moi qui ne suis qu'élan, que tendresse et transports ? Mon ciel est ici-bas, grand ouvert et sans borne ; Je m'y lance, âme et corps. Durer n'est rien. Nature, ô créatrice, ô mère ! Quand sous ton œil divin un couple s'est uni, Qu'importe à leur amour qu'il se sache éphémère S'il se sent infini ? C'est une volupté, mais terrible et sublime, De jeter dans le vide un regard éperdu, Et l'on s'étreint plus fort lorsque sur un abîme On se voit suspendu. Quand la Mort serait là, quand l'attache invisible Soudain se délierait qui nous retient encor, Et quand je sentirais dans une angoisse horrible M'échapper mon trésor, Je ne faiblirais pas. Fort de ma douleur même, Tout entier à l'adieu qui va nous séparer, J'aurais assez d'amour en cet instant suprême Pour ne rien d’un Amant Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1544 votesI Du fer, du feu, du sang ! C'est elle ! c'est la Guerre Debout, le bras levé, superbe en sa colère, Animant le combat d'un geste souverain. Aux éclats de sa voix s'ébranlent les armées ; Autour d'elle traçant des lignes enflammées, Les canons ont ouvert leurs entrailles d'airain. Partout chars, cavaliers, chevaux, masse mouvante ! En ce flux et reflux, sur cette mer vivante, A son appel ardent l'épouvante s'abat. Sous sa main qui frémit, en ses desseins féroces, Pour aider et fournir aux massacres atroces Toute matière est arme, et tout homme soldat. Puis, quand elle a repu ses yeux et ses oreilles De spectacles navrants, de rumeurs sans pareilles, Quand un peuple agonise en son tombeau couché, Pâle sous ses lauriers, l'âme d'orgueil remplie, Devant l'œuvre achevée et la tâche accomplie, Triomphante elle crie à la Mort Bien fauché ! » Oui, bien fauché ! Vraiment la récolte est superbe ; Pas un sillon qui n'ait des cadavres pour gerbe ! Les plus beaux, les plus forts sont les premiers frappés. Sur son sein dévasté qui saigne et qui frissonne L'Humanité, semblable au champ que l'on moissonne, Contemple avec douleur tous ces épis coupés. Hélas ! au gré du vent et sous sa douce haleine Ils ondulaient au loin, des coteaux à la plaine, Sur la tige encor verte attendant leur saison. Le soleil leur versait ses rayons magnifiques ; Riches de leur trésor, sous les cieux pacifiques, Ils auraient pu mûrir pour une autre moisson. II Si vivre c'est lutter, à l'humaine énergie Pourquoi n'ouvrir jamais qu'une arène rougie ? Pour un prix moins sanglant que les morts que voilà L'homme ne pourrait-il concourir et combattre ? Manque-t-il d'ennemis qu'il serait beau d'abattre ? Le malheureux ! il cherche, et la Misère est là ! Qu'il lui crie A nous deux ! » et que sa main virile S'acharne sans merci contre ce flanc stérile Qu'il s'agit avant tout d'atteindre et de percer. A leur tour, le front haut, l'Ignorance et le Vice, L'un sur l'autre appuyé, l'attendent dans la lice Qu'il y descende donc, et pour les terrasser. A la lutte entraînez les nations entières. Délivrance partout ! effaçant les frontières, Unissez vos élans et tendez-vous la main. Dans les rangs ennemis et vers un but unique, Pour faire avec succès sa trouée héroïque, Certes ce n'est pas trop de tout l'effort humain. L'heure semblait propice, et le penseur candide Croyait, dans le lointain d'une aurore splendide, Voir de la Paix déjà poindre le front tremblant. On respirait. Soudain, la trompette à la bouche, Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche, Écrasant le progrès sous ton talon sanglant. C'est à qui le premier, aveuglé de furie, Se précipitera vers l'immense tuerie. A mort ! point de quartier ! L'emporter ou périr! Cet inconnu qui vient des champs ou de la forge Est un frère ; il fallait l'embrasser, - on l'égorge. Quoi ! lever pour frapper des bras faits pour s'ouvrir ! Les hameaux, les cités s'écroulent dans les flammes. Les pierres ont souffert ; mais que dire des âmes ? Près des pères les fils gisent inanimés. Le Deuil sombre est assis devant les foyers vides, Car ces monceaux de morts, inertes et livides, Étaient des cœurs aimants et des êtres aimés. Affaiblis et ployant sous la tâche infinie, Recommence, Travail ! rallume-toi, Génie ! Le fruit de vos labeurs est broyé, dispersé. Mais quoi ! tous ces trésors ne formaient qu'un domaine ; C'était le bien commun de la famille humaine, Se ruiner soi-même, ah ! c'est être insensé ! Guerre, au seul souvenir des maux que tu déchaînes, Fermente au fond des cœurs le vieux levain des haines ; Dans le limon laissé par tes flots ravageurs Des germes sont semés de rancune et de rage, Et le vaincu n'a plus, dévorant son outrage, Qu'un désir, qu'un espoir enfanter des vengeurs. Ainsi le genre humain, à force de revanches, Arbre découronné, verra mourir ses branches, Adieu, printemps futurs ! Adieu, soleils nouveaux ! En ce tronc mutilé la sève est impossible. Plus d'ombre, plus de fleurs ! et ta hache inflexible, Pour mieux frapper les fruits, a tranché les rameaux. III Non, ce n'est point à nous, penseur et chantre austère, De nier les grandeurs de la mort volontaire ; D'un élan généreux il est beau d'y courir. Philosophes, savants, explorateurs, apôtres, Soldats de l'Idéal, ces héros sont les nôtres Guerre ! ils sauront sans toi trouver pour qui mourir. Mais à ce fier brutal qui frappe et qui mutile, Aux exploits destructeurs, au trépas inutile, Ferme dans mon horreur, toujours je dirai Non ! » O vous que l'Art enivre ou quelque noble envie, Qui, débordant d'amour, fleurissez pour la vie, On ose vous jeter en pâture au canon ! Liberté, Droit, Justice, affaire de mitraille ! Pour un lambeau d'Etat, pour un pan de muraille, Sans pitié, sans remords, un peuple est massacré. - Mais il est innocent ! - Qu'importe ? On l'extermine. Pourtant la vie humaine est de source divine N'y touchez pas, arrière ! Un homme, c'est sacré ! Sous des vapeurs de poudre et de sang, quand les astres Pâlissent indignés parmi tant de désastres, Moi-même à la fureur me laissant emporter, Je ne distingue plus les bourreaux des victimes ; Mon âme se soulève, et devant de tels crimes Je voudrais être foudre et pouvoir éclater. Du moins te poursuivant jusqu'en pleine victoire, A travers tes lauriers, dans les bras de l'Histoire Qui, séduite, pourrait t'absoudre et te sacrer, O Guerre, Guerre impie, assassin qu'on encense, Je resterai, navrée et dans mon impuissance, Bouche pour te maudire, et cœur pour t'exécrer !La guerre Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 877 votes<13456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

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